WASHINGTON — vice-président Joe Biden a promis aujourd'hui pour s'assurer que la « plus fort la voix » dans le débat sur les armes à feu seront ceux qui ont été perdus à la violence armée, comme la vingtaine d'enfants et six enseignants tués dans le massacre de l'école primaire à Sandy Hook l'an dernier.
"Il va y avoir beaucoup de voix dans ce débat, mais je suis absolument déterminé à s'assurer que le plus fort de la voix sera la voix de ceux qui nous avons perdu. Nous devons parler pour eux et leurs familles. Folks, ça suffit suffit,"Biden a dit lors de la Conférence de la National League of Cities.
Biden a déclaré qu'il a passé des heures avec une majorité des parents qui ont perdu leurs enfants dans la fusillade de Sandy Hook, et il a critiqué ceux qui ont fait valoir que l'effet « Connecticut » disparaîtra de l'esprit du public.
« Cet effet ne va pas s'estomper dans la mémoire des familles qui ont perdu leurs enfants ou leur être cher. Il ne va pas se faner dans ma mémoire. Il ne va pas s'estomper dans la mémoire du Président et il ne va pas s'estomper dans la mémoire du peuple du Connecticut et je dirais pas dans la mémoire du peuple des États-Unis », dit-il. « Les Américains veulent des choses à changer. »
Plus tôt aujourd'hui, le Comité judiciaire du Sénat a voté en faveur d'un projet de loi cocher arrière-plan universelle et une mesure visant à accroître la sécurité dans les écoles. La semaine dernière, le Comité a approuvé la législation trafic d'armes à feu qui ferait « paille » achats — achat d'une arme à feu pour quelqu'un d'autre — un crime. C'est les premières mesures de l'arme à feu depuis la tragédie à Newtown, Connecticut.
« Nous faisons à nouveau progrès », a déclaré Biden. « Ces mesures que le Congrès est en train de prendre cette semaine montrent des signes de progrès réels. »
En parlant de la nécessité d'élargir le système de contrôle de fond, Biden a soutenu qu'il existe des exclusions dans le système actuel, qui doit être changé.
« Un fugitif de la justice peut toujours acheter une arme légalement à moins qu'ils franchissent une ligne d'État, » dit-il. "La seule personne que je ne veux pas d'avoir une arme est un fugitif recherché par la justice. Je préfère avoir un ex-felon ont accès à une arme que quelqu'un qui fuient le système de justice. »
Et le vice président avait une forte remontrance pour ceux qui soutiennent l'armement des enseignants dans les écoles.
"La dernière chose que nous pensons que nous devons faire est d'armer les enseignants. Nous devons armer les enseignants avec des informations, pas d'armes,"dit-il.
La semaine dernière, le Dakota du sud est devenu le premier État à adopter une loi qui permet aux conseils scolaires afin de déterminer si les enseignants devraient s'armer en classe.
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